PARIS

Lire, relire, relier Freud : un astelier

L’attelier, l’astella, désignait en latin, l’éclat de bois, puis à partir du XIVe siècle, il indiquera le « lieu où sont réunis les éclats de bois du charpentier ». C’est aussi l’ensemble des travailleurs qui travaillent dans ce lieu. Mais aussi, en architecture défensive, une excavation où se creuse les fossés qui bordent le lieu d’une communauté d’expérience ou de vie.
Proposer de travailler en astelier ou « a-t-el-lier » de lecture c’est proposer de creuser dans un atelier sans maître, où chacun s’attelant à la lecture, s’autorise à parler de ce qu’il entend dans ce qui se lit/e et faire le pari, à partir de ce travail collectif de faire lien d’école au-delà de l’École peut-être...

Cet atelier s’adresse à quiconque souhaitant y participer et ce, du point où il en en est dans son rapport à la psychanalyse et aux textes freudiens.

Après avoir lu l’an passé le premier chapitre de Métapsychologie consacré aux Pulsions et destin des pulsions, nous avons poursuivi avec la lecture d’Au-delà du Principe de plaisir et ...