[vc_row][vc_column width= »1/4″][vc_single_image image= »2218″ alignment= »right » border_color= »grey » img_link_large= »yes » img_link_target= »_blank » img_size= »full » css= ».vc_custom_1427722457657{padding-top: 10px !important;} »][/vc_column][vc_column width= »3/4″][vc_column_text]
Une folie, le transfert ? Faire d’un inconnu son père, son amant, sa sœur, sa mère : une folie ? Une folie du mental, cette « vérité de l’amour » ? Et cette folie serait le ressort, le matériau même d’une cure ? Depuis Freud, c’est pourtant à cette folie que nous nous prêtons chaque fois que commence une cure. Folie, outil, ou même obstacle, le transfert ne se pense guère aujourd’hui, qu’il faut à l’analyste, pour le supporter quotidiennement, inventer des fictions. Cette folie serait donc artiste ? À contre-courant de la pensée commune qui n’y voit plus qu’un mal nécessaire, pouvant donner à la psychanalyse de « forts maux d’estomac », l’auteur s’attache à tisser ce fil logique de la cure, sans reculer devant la psychose.
Solal Rabinovitch, psychiatre, psychanalyste, est membre de l’École de psychanalyse Sigmund Freud.
A déjà publié chez Erès :
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Ecritures du meurtre – Freud et Moïse : écritures de père 3, collection Scripta, 1997 ;
La forclusion, collection Scripta, 1998 ;
Les voix, collection Point Hors Ligne, 1999.
2006. 208 p., 15 euros.
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